Responsabilité Sociétale

 

Stratégie de durabilité (RSE)

La mise en place de stratégie de durabilité qui s'inscrivent dans  la démarche RSE de l'entreprise est devenue essentielle pour toute organisation soucieuse de son impact et de sa pérennité.

La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est définie par la Commission européenne comme l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes.


En d’autres termes, la RSE consiste à prendre en compte les enjeux liés au développement durable dans les actions et décisions des entreprises.


Il est nécessaire de suivre un processus rigoureux pour mettre en place une démarche RSE efficace au sein de son entreprise, et pour assurer la pérennité des actions.

Stratégie RSE

Diagnostic

Cette étape permet à votre entreprise - d’évaluer son degré de maturité par rapport aux pratiques RSE, d’évaluer son impact social et environnemental, d’évaluer ses besoins et ceux de ses parties prenantes (client, fournisseur, salarié, actionnaire…), d’évaluer ses ressources et compétences internes, d’identifier ses forces et ses faiblesses, et de définir des axes d’amélioration pertinents.


Le diagnostic RSE offre une base solide pour la construction de la stratégie RSE de l’entreprise afin de l’aligner avec les valeurs, la culture et les attentes de ses parties prenantes. Aussi, il permet de mesurer les progrès, de renforcer la transparence et la crédibilité de l’entreprise et de contribuer positivement aux objectifs sociétaux.


Les Parties Prenantes (PP)

L'identification des PP (salariés, actionnaires, fournisseurs, riverains, etc.) est primordiale car elle permet de comprendre leurs besoins et exigences, d’identifier les risques et opportunités dans leurs interactions et de prioriser ainsi les objectifs en fonction de leur influence.


La sphère d'influence

Elle permet d’identifier schématiquement le niveau de relation avec les PP et leur positionnement par rapport à l'entreprise: - quelles sont les degrés d’influence et d'implication ? - quelles interactions ? - les facteurs de nuisance ou de soutien, etc.


Qualification des domaines d'actions

Cette étape consiste à définir une série de domaines d’action, qui seront  évalués et priorisés en fonction:

  • du niveau de relation, ou d’influence
  • de l’impact RSE

Ceci permet ensuite de regrouper les actions par ordre de priorité.


La construction d'une matrice de matérialité des enjeux RSE permet de hiérarchiser les enjeux économiques, financiers, sociétaux et environnementaux au regard de l’ambition de l’entreprise et des attentes de ses principales parties prenantes.


Le plan d'actions

Il comporte des objectifs stratégiques, des actions à déployer (stratégiques, opérationnelles et/ou d’amélioration), des indicateurs de performance et une base de connaissance permettant d’approfondir sa compréhension des enjeux (bonnes pratiques, référentiels, règlementation, charte…). Cette étape permet également de mesurer les ressources nécessaires en interne pour mettre en œuvre le plan.

Mise en oeuvre 

Le plan d’actions une fois réalisé laisse la place au temps de l’organisation et de l’animation. Plusieurs questions devront trouver réponse à propose de la mise en place de la gouvernance RSE: - Quelle organisation mettre en place pour déployer la démarche ? - Quel système d’animation sera le plus efficace ? - Quel périmètre de déploiement est le plus cohérent ?

"Le regard RSE est un regard multifocal. Chaque focale est accompagnée d’une vision périphérique. Et les perspectives, au nombre de 3 (économie, environnement et social) doivent converger dans le temps…"


CSR.Observer

"Plus qu’un point de chute, nous considérons la RSE comme un chemin, un parcours qui questionne en temps réel la démarche entrepreneuriale et ses effets sur les différentes dimensions qui composent notre société."


CSR.Observer

Rapport de durabilité

La directive (UE) 2022/2464, dite « CSRD » (Corporate Sustainability Reporting Directive) ou directive relative à la publication d’informations en matière de durabilité par les entreprises est d’application d’une manière progressive à compter du 1er janvier 2024. Elle invite les entreprises à analyser la pérennité de leur activité sous l’angle de la durabilité et en affichant la transparence de leur démarche environnementale, sociale et de leur gouvernance. 

La réalisation d'un rapport de durabilité n'est pas nécessairement obligatoire .


La CSRD élargit considérablement l'obligation de rapport de durabilité de 11.000 à 50.000 entreprises dans l'Union européenne (2.500 entreprises concernées en Belgique). À partir de janvier 2026, elle s'appliquera également aux PME de plus de 250 salariés.

Les rapports de durabilité devront respectés un ensemble de normes et d’indicateurs de reporting .


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